Lorsqu’on parle de cuisine thaïe, on pense à la salade de papaye verte, aux plats piquants, aux bols de nouilles aux arachides et à la sauce poisson.
L’hiver, c’est le moment de s’emmitoufler, de boire un thé chaud, et d’écouter du vieux Neil Young au bord du feu.
Épicé, sucré, acidulé, fragrant, aromatique: les plats indiens reçoivent plusieurs qualificatifs à cause de leur grande utilisation d’épices.
Bien qu'il faille prendre une voix forte pour se faire entendre de nos voisins et des gens affectés au service, les commandes sont prises rapidement et les cocktails sont servis promptement.
Si la cuisine thaïe est relativement en vogue ces derniers temps et que les mangeurs les plus avertis ont tous, au moins une fois, dégusté un pad thaï, ses origines et son inspiration restent relativement obscures, à tout le moins au Québec.
Si on faisait un sondage demandant ce que les Polonais boivent en mangeant, on risquerait de se retrouver face à une panoplie de réactions différentes.
Un des restaurants indiens les plus connus de Montréal, Mirchi, offre à ses clients une flexibilité sur la quantité de chilis qui fait partie de chacun des plats.
Collaboration spéciale de Sylvie Li pour Continents et condiments Peu importe ce que certains peuvent en penser, être invité à...
Linda Cheng, directrice au groupe Satori, qui lui est proprio du restaurant Siam, resto thaï de Longueuil, affirme qu’il a fallu extraire le côté « défiant » des présentations culinaires de ce pays d’Asie du Sud-Est.
Comme la majorité des pays du bloc communiste de l’ex-URSS, la cuisine de la Pologne met en évidence trois ingrédients en particulier: le chou, les patates, et le cochon.
Et dans ce climat d’incertitude, dans le monde de la restauration à Montréal, une constante demeure: le restaurant Mirchi, dans le Vieux-Montréal, sert sa cuisine pan-indienne à une pluralité de clients.
L'artifice, le luxe, la classe et le service sont au rendez-vous dès le moment où on met les pieds dans le restaurant.











